Voici une présentation standard de la Fondation Anna Lindh, qui peut être utilisée dans des articles ou autres publications destinées à la communication externe.
A propos de la Fondation Anna Lindh
La Fondation Anna Lindh promeut les échanges et projets communs interculturels entre les sociétés civiles de la région euro-méditerranéenne. Nous sommes une institution internationale, établie par les gouvernements du Partenariat euro-méditerranéen et l’Union Européenne en tant qu’institution centrale pour le dialogue interculturel entre les populations de la région.
Depuis notre siège à Alexandrie, Egypte, nous opérons le plus vaste Réseau Euro-Med d’organisations de la société civile, facilitant des partenariats et des projets communs à travers les 42 pays. Nous portons des programmes dans les domaines de l’éducation, de la culture et des médias, développons des campagnes civiques régionales avec nos Réseaux, et offrons des subventions destinées à soutenir des initiatives de coopération transméditerranéennes. Nous publions également le Rapport Anna Lindh sur les Tendances interculturelles et le Changement social, qui fournit des propositions et des plaidoyers destinés aux décideurs politiques et aux prescripteurs d’opinion dans le cadre de l’élaboration de l’agenda Euro-Med du dialogue.
Pour plus d’information, veuillez visiter : www.annalindhfoundation.org
La Fondation Anna Lindh opère dans les pays suivants : Albanie, Algérie, Allemagne, Autriche, Belgique, Bosnie-Herzégovine, Bulgarie, Croatie, Chypre, Danemark, Egypte, Espagne, Estonie, Finlande, France, Grèce, Hongrie, Irlande, Israël, Italie, Jordanie, Lettonie, Liban, Lituanie, Luxembourg, Malte, Maroc, Mauritanie, Monaco, Monténégro, Palestine, Pays Bas, Pologne, Portugal, République Tchèque, Roumanie, Royaume Uni, Slovaquie, Slovénie, Suède, Tunisie, et Turquie.
Les valeurs de la Fondation Anna Lindh sont celles du Partenariat euro-méditerranéen, contenues dans la Déclaration de Barcelone de 1995 et réaffirmées lors du Sommet de l’Union pour la Méditerranée en 2008 :
Respect de la diversité et du pluralisme, promotion de la compréhension mutuelle entre différents groupes de la société, et lutte contre les manifestations d’intolérance, de racisme et de xénophobie. Promotion de la paix, de l’Etat de droit et de la démocratie, respect des droits de l’Homme et des libertés fondamentales.
Conformément à la stratégie approuvée par le Conseil des Gouverneurs pour 2012-2014 :
Nous concevons le dialogue interculturel comme un ‘exercice visant à bâtir une relation de confiance entre les individus’. Celui-ci est étroitement lié aux notions de valorisation de la diversité, de promotion de la participation sociale dans la construction de sociétés ouvertes et pluralistes, et d’encouragement du développement humain et des droits fondamentaux.